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Qui Sommes-nous

L’Initiative mondiale pour la justice, la vérité et la réconciliation réunit des défenseurs, des activistes et des professionnels de neuf organisations internationales ayant une expertise dans un éventail de domaines allant du soutien psychosocial et de la documentation à la médecine légale et au droit. Ensemble, ils aident les communautés en situation de conflit ou sortant d’un conflit à créer un avenir juste et pacifique.

Nos activités

Dans les pays qui se remettent d’un passé violent, la paix véritable ne peut s’installer que si toutes les composantes de la société – en particulier les groupes marginalisés tels que les femmes, les minorités et les survivants – jouent un rôle central dans la reconstruction de leur pays. À ce jour, cependant, de nombreux modèles de justice transitionnelle n’ont pas réussi à impliquer activement ces voix clés, préférant des procédures descendantes qui donnent la priorité aux expériences et aux opinions des personnes au pouvoir.

Pour corriger ces erreurs, l’Initiative mondiale pour la justice, la vérité et la réconciliation (GIJTR) a été fondée en 2014 par la Coalition internationale des sites de conscience (ISCS), un réseau de plus de 300 sites historiques, musées et initiatives de mémoire dans 65 pays qui se consacrent à établir un lien entre les luttes antérieures et les mouvements actuels pour la justice sociale. Les membres de l’ISCS eux-mêmes, notamment en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, ont de plus en plus exprimé le besoin d’initiatives de vérité, de justice et de réconciliation locales pour soutenir les processus nationaux de justice transitionnelle. Forte de sa propre expertise en matière de mémoire et de commémoration, l’ICSC a décidé de réunir huit autres organisations internationales engagées dans la promotion d’une paix juste et durable dans les pays en transition en faisant participer les organisations locales de la société civile, les survivants et les gouvernements de manière participative, inclusive et holistique. Sélectionnées pour leur diversité géographique ainsi que pour leur large éventail de compétences, ces organisations constituent l’Initiative mondiale pour la justice, la vérité et la réconciliation.

Depuis son lancement en 2014, avec le soutien des Sites de conscience du monde entier, la GIJTR a travaillé avec des partenaires dans 60 pays, a soutenu plus de 240 projets de base et mobilisé plus de 560 organisations locales de la société civile pour aider chacun à documenter son expérience des conflits, à mettre en place des processus formels de justice transitionnelle dans son pays et à promouvoir la guérison au sein de communautés longtemps divisées. Pour plus d’informations sur les partenaires de la GIJTR, voir ci-dessous.

Dans les pays qui se remettent d’un passé violent, la paix véritable ne peut s’installer que si toutes les composantes de la société – en particulier les groupes marginalisés tels que les femmes, les minorités et les survivants – jouent un rôle central dans la reconstruction de leur pays. À ce jour, cependant, de nombreux modèles de justice transitionnelle n’ont pas réussi à impliquer activement ces voix clés, préférant des procédures descendantes qui donnent la priorité aux expériences et aux opinions des personnes au pouvoir.

Pour corriger ces erreurs, l’Initiative mondiale pour la justice, la vérité et la réconciliation (GIJTR) a été fondée en 2014 par la Coalition internationale des sites de conscience (ISCS), un réseau de plus de 300 sites historiques, musées et initiatives de mémoire dans 65 pays qui se consacrent à établir un lien entre les luttes antérieures et les mouvements actuels pour la justice sociale. Les membres de l’ISCS eux-mêmes, notamment en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, ont de plus en plus exprimé le besoin d’initiatives de vérité, de justice et de réconciliation locales pour soutenir les processus nationaux de justice transitionnelle. Forte de sa propre expertise en matière de mémoire et de commémoration, l’ICSC a décidé de réunir huit autres organisations internationales engagées dans la promotion d’une paix juste et durable dans les pays en transition en faisant participer les organisations locales de la société civile, les survivants et les gouvernements de manière participative, inclusive et holistique. Sélectionnées pour leur diversité géographique ainsi que pour leur large éventail de compétences, ces organisations constituent l’Initiative mondiale pour la justice, la vérité et la réconciliation.

Depuis son lancement en 2014, avec le soutien des Sites de conscience du monde entier, la GIJTR a travaillé avec des partenaires dans 60 pays, a soutenu plus de 240 projets de base et mobilisé plus de 560 organisations locales de la société civile pour aider chacun à documenter son expérience des conflits, à mettre en place des processus formels de justice transitionnelle dans son pays et à promouvoir la guérison au sein de communautés longtemps divisées. Pour plus d’informations sur les partenaires de la GIJTR, voir ci-dessous.

ÉTATS-UNIS

La Coalition internationale des sites de conscience (ICSC)

La Coalition internationale des sites de conscience (ICSC) est le seul réseau mondial dédié à la transformation des lieux qui préservent le passé en espaces qui promeuvent l'action civique. Avec plus de 300 Sites de conscience dans 65 pays, l'ICSC encourage chaque année des dizaines de millions de personnes à utiliser les leçons de l'histoire pour agir face aux défis actuels de la démocratie et des droits de l'homme.

ÉTATS-UNIS

American Bar Association Rule of Law Initiative (ABA ROLI - « L'Initiative pour l'État de droit de l'Association du Barreau américain » en français)

L'American Bar Association Rule of Law Initiative (ABA ROLI) promeut la justice, les opportunités économiques et la dignité humaine par le biais de l'État de droit. L'ABA ROLI travaille en partenariat avec des acteurs du secteur de la justice dans plus de 50 pays afin de renforcer les institutions juridiques et de soutenir les professionnels du droit ; de favoriser le respect des droits de l'homme et l'accès à la justice ; de soutenir la justice transitionnelle et la consolidation de la paix ; et de promouvoir un développement économique inclusif et durable.

Indonésie

Asia Justice and Rights (AJAR - « L'Organisation Justice et droits en Asie » en français)

L'Asia Justice and Rights (AJAR) travaille au renforcement de la responsabilité et des droits de l'homme dans la région Asie-Pacifique. En se concentrant sur les pays en phase de transition d'un contexte de violations massives des droits de l'homme à la démocratie, l'AJAR s'efforce de construire des cultures basées sur la responsabilité, la justice et la volonté d'apprendre des causes profondes des violations massives des droits de l'homme.

Afrique du sud

Centre for the Study of Violence and Reconciliation (CSVR - Centre pour l'étude de la violence et de la réconciliation » en français)

Fondé en 1989, le Centre pour l'étude de la violence et de la réconciliation (CSVR) a pour objectif de comprendre et de prévenir les causes profondes de la violence sous toutes ses formes et de s'attaquer à ses conséquences afin de construire une paix et une réconciliation durables en Afrique du Sud et sur l'ensemble du continent africain. Le travail du CSVR porte sur un large éventail de formes de violence et de conflits - passés et présents - y compris la violence criminelle, politique, collective, domestique et sexiste, ainsi que la violence contre les enfants.

Cambodge

Centre de documentation du Cambodge (DC-CAM)

Le Centre de documentation du Cambodge (DC-Cam) est une organisation non partisane qui se consacre à la documentation du génocide perpétré par le régime des Khmers rouges. Ce faisant, le DC-Cam sauvegarde des documents pour soutenir ceux qui cherchent à établir les responsabilités et réalise des activités de justice transitionnelle dans tout le Cambodge. Plus précisément, il a joué un rôle de premier plan en fournissant aux chambres extraordinaires des tribunaux cambodgiens des documents probatoires et des témoignages de survivants de l'époque des Khmers rouges.

Photo credit: The Forensic Anthropology Foundation of Guatemala (FAFG)
ÉTATS-UNIS

Due Process of Law Foundation (DPLF - « Fondation pour le respect des procédures légales » en français)

La Due Process of Law Foundation (DPLF) est une organisation régionale basée à Washington, DC, composée d'un groupe multinational de professionnels dont le mandat est de promouvoir l'État de droit et le respect des droits de l'homme en Amérique latine. Le travail de la DPLF se concentre sur le renforcement de l'indépendance judiciaire, la lutte contre l'impunité et le respect des droits fondamentaux dans le contexte de l'extraction des ressources naturelles, un des problèmes les plus difficiles à résoudre aujourd'hui pour les systèmes judiciaires nationaux de la région.

Guatemala

Forensic Anthropology Foundation of Guatemala (FAFG - « Fondation d'anthropologie légiste du Guatemala » en français)

La Forensic Anthropology Foundation of Guatemala (FAFG) a recours à des méthodologies scientifiques médico-légales pour enquêter sur les circonstances, le lieu et l'identité des personnes disparues ou portées disparues afin de fournir la vérité aux victimes et à leurs familles, d'aider à la recherche de la justice et de la réparation, et de renforcer l'État de droit. La FAFG mène des enquêtes selon une approche centrée sur les victimes et basée sur le terrain dans des domaines tels que la justice transitionnelle, les migrants disparus, l'identification des victimes de catastrophes et la sécurité des citoyens.

Serbie

Humanitarian Law Center (HLC - « Centre de droit humanitaire » en français)

Le Humanitarian Law Center (HLC) documente depuis 1992 les crimes de guerre et les violations des droits de l'homme commis pendant les conflits de l'ex-Yougoslavie. Il est aujourd'hui le plus grand centre de documentation sur les crimes commis pendant ces guerres. La base de données du HLC sur les crimes de guerre et les violations passées des droits de l'homme contient plus de 100 000 sources numérisées, une documentation qui a été utilisée par le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie et les tribunaux de la région dans de nombreuses affaires.

ÉTATS-UNIS

Public International Law & Policy Group (PILPG - « Le Groupe de droit international public et de politique générale » en Français)

Le Public International Law & Policy Group (PILPG), sélectionné pour le prix Nobel de la paix en 2005, est un cabinet d'avocats international bénévole qui fournit une assistance juridique aux gouvernements, aux collectivités locales et aux groupes de la société civile du monde entier dans le cadre de négociations de paix, de la rédaction de constitution après un conflit et de la justice transitionnelle.Pour faciliter l'utilisation de cette assistance juridique, le PILPG fournit également des conseils en matière de formulation de politiques et des formations sur des questions liées à la résolution des conflits.